Paroles
et musique : Jean-Claude GIANADDA
Disques :
Oser - Grandir
(Enregistrement public n° 2)
Ressembler
1.- Tu as choisi de partir, Tout s’est passé si vite, Elle te rongeait sans rien dire La maladie termite. Partie vers l’infini, Dans un matin si pâle, Tu n’étais pas d’ici, Mais d’un autre Pays Où naissent les étoiles. |
Refrain : Mais je t’entends me dire : “Ne pleure pas si tu
m’aimes” Avec ton grand sourire, Tu ne cesses de me dire : “Je t’appartiens quand même
!” Oh !
Reviens si tu peux, si tu veux. |
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2.- Enfuie vers un “Ailleurs”, Tu as lâché la corde, Trop inapte au bonheur, Aux bruits et aux discordes. Mais pour moi ce matin, Tout le reste est dérisoire, Les remords - les chagrins Déchirent mon destin Et hantent ma mémoire. |
Mais je t’entends me dire : “ Ne pleure pas si tu
m’aimes ” Avec ton grand sourire, Tu ne cesses de me dire : “ Je t ’appartiens
quand même !... ” Adieu - Adieu. Quel âge a un enfant, Quand ses yeux sont fermés. “ Tu avais 17 ans : tu
as l’éternité... ” Un seul être est absent, Mais rien n’est dépeuplé. Un grand amour m’attend Il a l’éternité. Adieu - Adieu. |
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3.- Prétendre que tu n’es plus, C’est se renier soit même. Tu as écrit ce poème. Et pardon si j’envoie Cette “Lettre à l’Absente”, Je voudrais tant qu’ils voient, Je voudrais tant qu’ils croient Que la flamme est vivante. |
Car je t’entends me dire : “ Ne pleure pas si tu
m’aimes ” Avec ton grand sourire, Tu ne cesses de me dire : “ Je t’appartiens quand
même ... ! ” Adieu - À Dieu Puisque c’est près de Dieu Que nos vies se rejoignent. |